Partir à l'étranger

Une mobilité de 17 semaines minimum à l’international est obligatoire au sein du cycle d’ingénieur pour pouvoir obtenir le diplôme. Les étudiants de nationalité étrangère n’ont pas à effectuer une telle mobilité, la CTI considère que le fait de venir faire ses études supérieures en France suffit à s’acquitter de cette obligation.

Femme qui marche dans une rue

Il existe de nombreuses formes de mobilités internationales. Vous pouvez par exemple :

 

La mobilité d’études ne peut s’effectuer qu’au sein d’un établissement ayant conclu un accord d’échange avec l’ENSG-Géomatique garantissant ainsi un cadre juridique et pédagogique solide pour les échanges. 

Au-delà d’une condition à remplir pour obtenir son diplôme, effectuer une mobilité internationale est une véritable opportunité pour les étudiants. Elle est très souvent l’occasion d’approfondir ses connaissances dans une langue étrangère (anglais, espagnol, italien, allemand...) mais aussi le moment de se confronter à soi-même et d’en apprendre plus sur soi. C’est un moment très formateur et riche en découvertes humaines, culturelles, culinaires…  Le service des relations internationales vous accompagne dans votre projet de mobilité à l’international. Il est là pour vous conseiller sur la destination, sur le choix de cours en accord avec l’équipe pédagogique de l’école. Elle s’assure de la bonne reconnaissance des résultats obtenus durant la mobilité académique.   

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Il existe des mécanismes de soutien financier auxquels les étudiants de l’ENSG-Géomatique souhaitant effectuer une mobilité internationale peuvent prétendre. Pour en savoir plus merci de consulter le Guide des bourses et aides pour l’international
 

Personne dans un fauteuil roulant

Accompagnement à la mobilité internationale des individus en situation de handicap :
Le programme Erasmus+ accorde une attention toute particulière à :

  • l’accueil, à l’orientation et au soutien pédagogique et  administratif ; 
  • aux surcoûts liés à la mobilité des individus en situation de handicap pour faire en sorte que tout individu profite pleinement de son expérience de mobilité européenne.

Chaque établissement d’enseignement supérieur, en signant la Charte Erasmus+ pour l’enseignement supérieur (ECHE), s’engage à assurer l’égalité d’accès et d’opportunités de mobilité aux participants de tous horizons. Par conséquent, les individus en situation de handicap peuvent bénéficier des services de soutien que l’établissement d’accueil offre à ses étudiants et personnels.
Pour répondre aux besoins spécifiques d’un individu en situation de handicap pendant sa mobilité, l’obtention d’un financement complémentaire en plus de la bourse de mobilité Erasmus+ est possible.
Afin de préparer au mieux votre période de mobilité Erasmus+, vous devez compléter le formulaire de demande de fonds complémentaires afin que vous indiquiez les coûts supplémentaires liés à votre handicap. Les coûts éligibles à un complément de financement peuvent être divers : hébergement spécifique, assistance d’un accompagnateur pendant le voyage, suivi médical, soutien matériel, aide à domicile ou encore auxiliaire de vie.
 

Témoignage

Hey heyy, je m’appelle Lina Saba. Je suis étudiante en troisième année à l’école nationale des sciences géographiques à Paris-Est. Lors de ma deuxième année, j’ai effectué un semestre d’Erasmus dans la capitale de la Norvège, à l’université d’Oslo. 

J’ai toujours été fascinée par la nature et le mode de vie développé de la Scandinavie. 
Entre fjords, plages, montagnes et forêts, on peut profiter de paysages époustouflants dans ce beau pays.

J’étais très bien accueillie en Norvège. 
En effet, dès la première semaine, nous avons été intégrés dans des Buddy groups qui nous ont permis de rencontrer pleins d’autres Erasmus, visiter les monuments de la ville et vite s’habituer à cette nouvelle vie. 

Les cours proposés par l’UIO étaient conformes avec la formation que je suivais principalement en France. En particulier avec un cours de traitement d’images en utilisant le machine learning qui m’a permis d’approfondir les notions apprises à l’ENSG.

J’ai eu un séjour très riche en rencontres, de moments inoubliables, mais surtout de randonnées dans des endroits magiques.  

La plus grande contrainte que j’ai rencontrée était la langue, comme je ne sais pas parler norvégien. Toutefois, la communication n’a pas été si compliquée vu que les norvégiens parlent couramment l’anglais.

Je conseille vivement à toutes les personnes qui hésitent à faire un Erasmus que ce soit en Norvège ou ailleurs, de ne pas louper cette chance incroyable. La ville est pleine de jeunes, locaux et internationaux permettant ainsi une ouverture sur d’autres cultures mais surtout de créer des souvenirs éternels.
 

Lina

Étudiante qui a fait un semestre à Oslo

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Claire Driessens

Responsable du service des relations internationales